Voyages des Désertophiles*

Le lundi 27 février nous quittons Oualidia, direction Agadir en compagnie d'Albert et Fanfan.

La route se fait sans problème; Nous remarquons que de nombreuses maisons bâties sur le littoral sont démolies. Construites illégalement, soit sur le littoral, soit sur des terrains n'appartenant pas aux propriétaires des maisons, celles-ci sont détruites.

Nous déjeunons sur le bord de la route vers Essaouira dans un petit restau;

Le soleil est au rendez-vous et la température s'élève au fur et à mesure que nous descendons vers Agadir.

Arrivée dans l'après-midi chez fanfan et Albert qui nous hébergent durant notre séjour.

Leur jolie maison est située dans un quartier calme et sympathique.

Mardi matin quelques courses dans Agadir , un déjeuner dans un petit restau très sympa sur une place au soleil. nous faisons des achats de tee-shirt au fameux magasin Uniprix pour nous partons visiter le complexe Souss kasbat Bergao ou sont installés des artisants.

La place des restaurants

Chez le fabricant de babouches

Nous quittons le centre Sergao, nous y reviendrons mais des amis nous attendent à Terre d'Océan pour diner.

Le lendemain nous nous levons un peu plustard. Petit déjeuner sur la terrasse, au soleil. Que du bonheur!!!

Des amis viennent nous rejoindre pour visiter la maison et prendre l'apéritif avant d'aller déjeuner ensemble sur la place dont je ne me souviens plus du nom.

Tiens ce n'est pas Albert qui fait la vaisselle ce matin?

L'après-midi nous allons visiter la médina de Coco Polizzi

Mais qui est Coco Polizzi?

Un article concernant cette artiste dans l'economiste.

http://www.leconomiste.com 

Visite de cette belle médina

Les belles portes berbères 

Un artisan qui travaille l'argent attire notre attention.Il fabrique de jolis tours de cou avec les prénoms en arabe.

Nous allons nous faire offrir ce bijou. le jeune artisan nous montre d'abord sur le papier ce que donnera notre prénom. Fanfan choisit de faire réaliser son prénom "Francine " plutot que fanfan. c'est plus joli à réaliser.

Et voilà le travail.

Francine

Nelly